Très récemment mon Readynas Ultra 2 a eu un problème de carte réseau, par chance il est encore sous garantie et Netgear m’a proposé de l’envoyer chez eux pour remplacer le chassis.

Ne pouvant pas vraiment me passer d’un NAS pour quelques semaines (à ce stade toutes les excuses sont valables…) j’ai investit dans un NAS Synology. J’ai alors réalisé que toutes mes sauvegardes, quelques scripts intéressant, etc étaient stockés uniquement sur mon ReadyNAS.

Il m’a donc fallu trouver un moyen d’accéder à ces données via le disque-dur directement.

Oh, un post !

Mon NAS est formidable, il sait faire plein de choses géniales, mais la meilleure reste la possibilité de s’allumer et s’éteindre automatiquement via un planning (basique) déterminé à l’avance.

Couplée à une prise maitre-esclave, mon NAS devient alors le big boss de toute ma zone multimedia et me permet facilement d’éteindre tout ce petit monde pendant la nuit et de rallumer le tout le matin au réveil.

Bon, ça c’était la théorie. En pratique je me suis rapidement trouvé très très limité par la simplicité du planning natif du NAS. Impossible par exemple de prévoir un allumage de 7h à 8h30, puis de 18h à 23h : uniquement de de 7h à 23H… ce qui n’est pas très utile dans mon cas car je n’ai pas de chat qui utilise le net en mon absence.

Mais comment faire alors pour améliorer cette fonctionnalité ? Spoiler, c’est possible et expliqué ci-après !

Hey ! Non, ce blog n’est pas mort !

J’ai fait l’acquisition depuis quelques semaine d’un NAS Netgear ReadyNAS Ultra 2… qui depuis n’existe plus vraiment depuis car remplacé par la série ReadyNAS 10X. Bref.

Ce petit joujou n’est rien d’autre qu’une petite machine avec du Debian dedans, une vieille Debian Etch, qui date un peu mais qui reste fonctionelle. Voulant utiliser mon NAS comme serveur de sauvegarde je me suis mis en tête de bidouiller pour pouvoir booter un CD de sauvegarde Acronis via le réseau.

Eh beurk, Acronis me direz-vous, et un bon vieux Rsync des familles alors ?! Je n’ai pas trop le choix si je veux pouvoir sauvegarder mon PC pro, car c’est le seul outil supporté oficiellement par le service informatique de ma boite…

Dans le monde Linux, boot via le réseau se traduit par PXE. Pour résumer, une machine compatible pourra lors du démarrage faire une connection au réseau filaire et booter sur une image stockée sur le réseau.

Si vous ne le saviez pas, et bien sachez que ma machine “perso” tourne sous Linux (ArchLinux), et que mon smartphone fonctionne sous Android. On est content, non ?
Continuons dans cette voie, avec une photo de mon bureau :

De mieux en mieux, non ? Vous avez certainement remarqué que l’écran de mon portable est fermé, recouvert de figurines et de poussière…
Et donc ? Et donc je ne peux pas l’allumer via le bouton habituel… car cela m’oblige à virer les figurines, soulever l’écran, le refermer avant qu’il ne devienne l’écran principal… bla bla bla… j’ai dû trouver un moyer de gérer l’alimentation de cette machine à distance. Oh, et je vais vous en parler dans cet article du coup !

Il-y-a un quelques années, disons 5 ou 6 ans, basculer un ordinateur personnel sous Linux signifait d’abord vérifier la compatibilité du matériel. Cela est toujours vrai aujourd’hui, en témoigne Linux-Drivers.org, mais de manière générale ce n’est plus un passage obligé.

De manière générale.

Dans le but de mettre en place un NAS sur un Raspberry Pi flambant neuf, j’ai fait l’acquisition d’un boitier Sata USB 3 Icy Box IB-351StU3-B. Ni une ni deux je branche la chose sur le premier port USB disponible… et… mount /dev/sda1 /tmp/test… et rien. Un beau plantage du système.

Je suis l’heureux propriétaire d’un HTC One S, et même si la ROM Sense d’origine est très stable et plutôt agréable à utiliser, je n’ai pas pu résister à l’appel de CM9 !

De temps en temps un article ou un tweet annoncent la fin du flux RSS… mais l’ancètre fait de la résistance ! Heureusement d’ailleurs, car personellement je ne peux pas rester collé à Twitter ou autre réseau social, plein de bonnes choses, mais très prolifique et encombré par du bruit inutile.

Balance tes sources !

Je vous épargne les incontournables comme Numerama, PC Inpact ou encore Gizmodo pour me concentrer sur ceux plus confidentiels ou moins connus (à mon sens) en France.

Voici donc une sélection de mes flux favoris

Android c’est super, Google Navigation encore plus. Sauf quand ça plante. Surtout en voiture, paumé au milieu de la cambrouse…
Oh j’ai la solution, mais laissez moi vous raconter…

… et c’est le retour du mail en ligne de commande ! Du Python qui fonctionne mieux que le précédent qui, pour une raison inconnue, n’envoyait plus mes chers messages plein de bits (oh oh!).

Trève de bons mots :

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from email.mime.multipart import MIMEMultipart
from email.mime.base import MIMEBase
from email.mime.text import MIMEText
from email.utils import COMMASPACE, formatdate
from email import encoders
import os
from smtplib import SMTP

def send_mail(send_from, send_to, subject, text, files=[]):
        smtp_serv = SMTP('smtp.gmail.com','587')
    smtp_serv.starttls()

        smtp_serv.login('i-mel-a-dresse@gmail.com', 'mot de passe moi le sel veux tu')
        date_ = formatdate(localtime = True)

        msg = MIMEMultipart()
        msg['From'] = send_from
        msg['To'] = COMMASPACE.join(send_to)
        msg['Date'] = date_
        msg['Subject'] = subject

        msg.attach(MIMEText(text))

    for f in files:
            file_name = os.path.basename(f)
            file_part = MIMEBase('application', "octet-stream")
            file_part.set_payload(open(f, "rb").read())
            encoders.encode_base64(file_part)
            file_part.add_header('Content-Disposition', 'attachment; filename="%s"'
                       % file_name)
            msg.attach(file_part)

        smtp_serv.sendmail(send_from, send_to, msg.as_string())
        smtp_serv.quit()

Sans rentrer dans les détails, cette fonction prend en argument l’expéditeur, le destinataire, l’objet, le message et un tableau de fichiers (chemin complet).

Avoir un débit rapide pour accéder à internet c’est important, et cela varie fonction de différents facteurs comme votre fournisseur d’accès ou la qualité de votre Wifi… oui c’est en effet un sujet assez vaste !
Un moyen assez simple d’accélérer le temps d’accès aux site que vous visitez avec votre brouteur préféré c’est le DNS.